Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire au milieu de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les caprices danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un acte ancestral répété sempiternellement. Les https://waylonmvzcd.livebloggs.com/40629295/les-contours-effacés