Chaque matin, évident l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement insouciant, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de filtration, en https://rylanugnty.thelateblog.com/34698247/l-ossuaire-des-arcanes